by Dean Wolfe, Prog dog Media (NOTE: review is google-translated into French below, merci)
If you are at all like me, you will feel a special anticipation from the first moments that The Lightmaker unfolds before your ears. You are taken by the hand and guided through a majestic journey of a lifetime as nine different voices share their experience and lessons with you, though they are actually the same person: Rudy, who has lived 1000 different lives, and is now on his 1001st and last. What has he learned? What will he share?
The kinds of profound emotions and musical scenery is, as you can imagine- vast, varied and heartfelt. The several different lead singers and indeed each member of the band have reached deep into their souls as this album marks an important turning point for Nine Skies. It's the first album created since the untimely departure of Eric Bouillette. He was a pillar in the band- doing songwriting and performing guitars, piano, keyboards and violin, but the remaining members are bravely forging ahead. If he is able to hear the results in the hereafter where he may reside, I'm convinced he is delighted with the results.
As a big Yes and Steve Hackett fan, plus Opeth, I felt right at home with this album. The Alan Parsons Project-style of featuring different vocalists was a brilliant move and contributes to the album's profound narrative. There's plenty of excellent musicianship here as well. Bass guitar-wise there's some lovely fretless work as well as a 3 string chord/fingerstyle bass solos like on The Wanderer. Guitar-wise there is are plenty of acoustic steel-sting passages featuring soothing and beautiful chord parterns and progressions, as well as tons of tasteful electric guitar sections and some great, and occasionally epic solos. The keyboards and synths feature prominently as well, layered throughout including a remarkable and iconic solo in Chaotic. The drums also fit so well into all of the songs- as everything does, in this well produced and well mixed album.
Prog dog Scores this gorgeous album 4 1/2 out of 5 bones. It is at once epic and modest, and I predict this album will find its way into the hearts of many fans of the progressive rock genre. It's a new high water mark for prog in 2023.
https://nineskies.bandcamp.com/album/the-lightmaker
the video of this album review here: https://youtu.be/_0Vf01jR2Ek
Si vous êtes comme moi, vous ressentirez une attente particulière dès les premiers instants que The Lightmaker se déroule devant vos oreilles. Vous êtes pris par la main et guidé à travers le voyage majestueux de votre vie alors que neuf voix différentes partagent avec vous leurs expériences et leurs leçons, bien qu'il s'agisse en réalité de la même personne : Rudy, qui a vécu 1000 vies différentes et en est maintenant à sa 1001e. enfin. Qu'a-t-il appris ? Que va-t-il partager ?
Les émotions profondes et le décor musical sont, comme vous pouvez l'imaginer, vastes, variés et sincères. Les différents chanteurs principaux et chaque membre du groupe ont pénétré au plus profond de leur âme car cet album marque un tournant important pour Nine Skies. C'est le premier album créé depuis le départ prématuré d'Eric Bouillette. Il était un pilier du groupe – il écrivait des chansons et jouait des guitares, du piano, des claviers et du violon, mais les autres membres vont courageusement de l'avant. S'il est capable d'entendre les résultats dans l'au-delà où il résidera, je suis convaincu qu'il est ravi des résultats.
En tant que grand fan de Yes et de Steve Hackett, ainsi que d'Opeth, je me suis senti comme chez moi avec cet album. Le style Alan Parsons Project consistant à présenter différents chanteurs était une décision brillante et contribue au récit profond de l'album. Il y a aussi beaucoup d’excellente musicalité ici. En ce qui concerne la guitare basse, il y a un joli travail sans frette ainsi que des solos de basse en accords/fingerstyle à 3 cordes comme sur The Wanderer. En ce qui concerne la guitare, il y a de nombreux passages acoustiques en acier avec des partenaires et des progressions d'accords apaisants et magnifiques, ainsi que des tonnes de sections de guitare électrique de bon goût et des solos formidables, parfois épiques. Les claviers et les synthés figurent également en bonne place, superposés, y compris un solo remarquable et emblématique dans Chaotic. La batterie s'intègre également très bien dans toutes les chansons, comme tout, dans cet album bien produit et bien mixé.
Prog dog Note à ce magnifique album 4 1/2 sur 5. Il est à la fois épique et modeste, et je prédis que cet album trouvera sa place dans le cœur de nombreux fans du genre rock progressif. C’est un nouveau record pour le prog en 2023.
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